Citations de femmes célèbres _
Ils ont chanté les femmes _
_Enrico Macias _
Vous les femmes, vous les femmes
Vous pensez avec le cœur
Vous les femmes, vous les femmes
Vous embellissez nos heures
On vous doit la vie, on vous doit nos joies
Et notre premier sourire
Et lorsqu'on a peur quand on est petit
On se réfugie contre votre coeur
Vous nous consolez chaque fois
En nous berçant dans vos bras
Vous les femmes, vous les femmes
Vous pensez avec le coeur
Vous les femmes, vous les femmes
Vous embellissez nos heures
Vous les femmes, vous les femmes
Vous donnez tout sans compter
Vous les femmes, vous les femmes
Simplement soyez remerciées
Vous êtes pour nous notre premier rêve
Que l'on cueille sur vos lèvres
Vous êtes toujours beaucoup trop jolies
Vous êtes l'amour ou bien la folie
Vous peignez en noir ou en bleu
L'arc-en-ciel de notre vie
Vous les femmes, vous les femmes
Vous pensez avec le coeur
Vous les femmes, vous les femmes
Vous embellissez nos heures
Vous les femmes, vous les femmes
Vous donnez tout sans compter
Vous les femmes, vous les femmes
Simplement soyez remerciées
Quand nous arrivons au bout du chemin
On retrouve votre main
Dans vos yeux fidèles on voit le reflet
On voit le portrait de ce qu'on était
Et c'est grâce à vous qu'on est sûr
D'avoir vraiment existé
Vous les femmes, vous les femmes
Vous pensez avec le coeur
Vous les femmes, vous les femmes
Vous embellissez nos heures
Vous les femmes, vous les femmes
Vous donnez tout sans compter
Vous les femmes, vous les femmes
Simplement soyez remerciées
Vous les femmes, vous les femmes
Vous pensez avec le coeur
Vous les femmes, vous les femmes
Vous embellissez nos heures
Vous les femmes, vous les femmes
Vous donnez tout sans compter
Vous les femmes, vous les femmes
Simplement soyez remerciées
Vous les femmes, vous les femmes
La la la la la la la
Vous les femmes, vous les femmes
La la la la la la la
Vous les femmes, vous les femmes
La la la la la la la
Vous les femmes, vous les femmes
Simplement soyez remerciées
Julio Iglesias
PAUVRES DIABLES
Vous les femmes, vous le charme
Vos sourires nous attirent nous désarment
Vous les anges, adorables
Et nous sommes nous les hommes pauvres diables
Avec des milliers de roses on vous entoure
On vous aime et sans le dire on vous le prouve
On se croit très forts on pense vous connaître
On vous dit toujours vous répondez peut-être
Vous les femmes vous mon drame
Vous si douces vous la source de nos larmes
Pauvres diables que nous sommes
Vulnérables misérables nous les hommes
Pauvres diables pauvres diables
Des qu'un autre vous sourit on a tendance
A jouer plus ou moins bien l'indifférence
On fait tout pour se calmer puis on éclate
On es fous de jalousie et ça vous flatte
Vous les femmes vous le charme
Vos sourires nous attirent nous désarment
Pauvres diables que nous sommes
Vulnérables misérables nous les hommes
Pauvres diables
Pauvres diables
Pauvres diables
Jean Ferrat
QUE SERAIS-JE SANS TOI
Le poème d'Aragon
Que serais-je sans toi qui vins à ma rencontre
Que serais-je sans toi qu'un coeur au bois dormant
Que cette heure arrêtée au cadran de la montre
Que serais-je sans toi que ce balbutiement
J'ai tout appris de toi sur les choses humaines
Et j'ai vu désormais le monde à ta façon
J'ai tout appris de toi comme on boit aux fontaines
Comme on lit dans le ciel les étoiles lointaines
Comme au passant qui chante on reprend sa chanson
J'ai tout appris de toi jusqu'au sens du frisson
Que serais-je sans toi qui vins à ma rencontre
Que serais-je sans toi qu'un coeur au bois dormant
Que cette heure arrêtée au cadran de la montre
Que serais-je sans toi que ce balbutiement
J'ai tout appris de toi pour ce qui me concerne
Qu'il fait jour à midi qu'un ciel peut être bleu
Que le bonheur n'est pas un quinquet de taverne
Tu m'as pris par la main dans cet enfer moderne
Où l'homme ne sait plus ce que c'est qu'être deux
Tu m'as pris par la main comme un amant heureux
Que serais-je sans toi qui vins à ma rencontre
Que serais-je sans toi qu'un coeur au bois dormant
Que cette heure arrêtée au cadran de la montre
Que serais-je sans toi que ce balbutiement
Qui parle de bonheur a souvent les yeux tristes
N'est-ce pas un sanglot de la déconvenue
Une corde brisée aux doigts du guitariste
Et pourtant je vous dis que le bonheur existe
Ailleurs que dans le rêve ailleurs que dans les nues
Terre terre voici ses rades inconnues
Que serais-je sans toi qui vins à ma rencontre
Que serais-je sans toi qu'un coeur au bois dormant
Que cette heure arrêtée au cadran de la montre
Que serais-je sans toi que ce balbutiement